Autodidact en art visuel, c'est sa sensibilité qui guide avant tout Benoît Leroux.

Étant doué pour le dessin qu'il entreprit à un jeune âge, Benoît à été détourné de l'art visuel par plusieurs autre passions et intérêts.

Il a étudié le théâtre au cegep Lionel-Groulx, il s'est ensuite passionné pour le clown, les arts du cirque et la prestidigitation, à l'École National du Cirque de Paris.

Sensibilisé plus tard à l'alchimie suite des études en philosophie et traditions ésotériques, il complete un bacchaloréat en génie des matériaux.

C'est en sortant de Polytechnique qu'il s'impose la discipline du dessin de modèle vivant pour "ne pas le regretter à la fin de sa vie".

Inspiré par les grands classiques il travaille le dessin et l'huile, s'appliquant à saisir l'architecture du corps humain, ses subtilités, ses nuances, ses harmonies.

Puis, en 2010, c'est le retour de l'imaginaire avec des toiles semi-abstraite ou de la tache aléatoire se dégage des flames et des bestioles, un figuratif animé.

S'étant vu retirer injustement et à multiple reprise tout accès à ses enfants, en 2004 l'artiste devient activiste pour la cause des pères en grimpant sur le pont Jacques-Cartier déguisé en Robin, sous la banière de Fathers-4-Justice, un groupe qu'il coordonne alors à Montréal.

Condamné en justice criminelle pour ce geste d'éclat, il est toujours en probation.

En 2005, il publie une théorie physique originale sur l'épaisseur du présent et la liberté gravitationnelle du vide.

Son art est donc alimenté par la science, le sens du spectacle, le combat pour la justice, l'humanité, l'amour et parfois le symbolisme ésotérique.

Il interpréte directement la lumière par ses nombreux pastels sur fond colorés ou simplement noir.

Benoît Leroux fait parti de la communauté Métis du Québec.